Muret. Alain Barrès: «Pourquoi je soutiens Laurent Jammes»

Publié le par A Muret faisons le ...

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En exclusivité pour La Dépêche Alain Barrès, l’ancien maire de Muret, explique son retour en politique et les raisons de son engagement aux côtés de Laurent Jammes pour les municipales de 2014.
Dernièrement vous avez affiché votre engagement auprès de la liste conduite par Laurent Jammes. Quelle est aujourd’hui votre position concernant les prochaines municipales à Muret ?
Bien que ne souhaitant pas être tête de liste, je n’ai jamais caché que je participerai aux municipales de 2014. Mais il est un âge où on doit savoir se retirer des avant-postes. Mon choix naturel est de soutenir mon ancien colistier Laurent Jammes qui a bâti toute sa vie professionnelle et familiale à Muret.
Avez-vous hésité entre l’une ou l’autre de ces listes; connaissant votre sympathie pour Alain Sottil et pour Laurent Jammes qui était sur votre liste en 2008 ?
Je n’oublie pas le soutien que m’a apporté Alain Sottil lorsque j’étais président de la CAM, mais je suis tourné vers l’avenir de Muret. Mon choix du candidat n’a pas été guidé par le souvenir des alliances du passé, mais pas une analyse objective des besoins futurs des muretains. Je connais Laurent Jammes de longue date. C’est un homme jeune et de son temps. C’est aussi un homme de décision, tolérant, qui saura être le maire de tous, libre de toute entrave et avec lequel je partage les mêmes valeurs de rigueur et d’humanisme. Je n’ai donc pas hésité à lui apporter mon soutien.
Qu’avez-vous retenu d’important sur la liste que vous avez choisi d’intégrer ?
J’ai été frappé par la jeunesse et l’enthousiasme de cette liste, à l’écoute attentive de l’expérience d’anciens élus. Elle a une connaissance claire des besoins immédiats et futurs des muretains et a la volonté d’adapter en douceur la ville aux grands changements de notre époque. De nouveaux outils ne manquent pas pour y parvenir. Tout comme il existe de nouveaux moyens de lutte contre l’insécurité qui a beaucoup progressé à Muret, car il est vain de parler de liberté individuelle sans sécurité au quotidien.
Quel sera votre rôle ? Comment comptez-vous vous impliquer dans la campagne ?
Mon rôle sera bien évidemment d’apporter l’expérience de deux mandats municipaux. En 6 ans le monde a changé, Muret a changé. Durant cette période j’ai eu le temps de la réflexion mais mon idéal reste le même et ma passion pour la ville est intacte. Je rencontre chaque jour des muretains qui me témoignent leur sympathie. Ces marques d’amitié me vont droit au cœur. Je demande à toutes celles et ceux qui m’ont fait confiance pendant treize ans, ainsi qu’à celles et ceux qui souhaitent une ville jeune, dynamique et sûre de soutenir la candidature de Laurent Jammes.
Quelles sont aujourd’hui les critiques essentielles que vous adressez à vos successeurs à la mairie ?
On ne perçoit aucune perspective d’ensemble ni vision d’avenir cohérente : exemple du point de congestion de l’entrée nord de Muret. L’augmentation des impôts et les importantes ventes de biens publics n’ont pas empêché la dégradation des finances, derrière le savant habillage des présentations budgétaires. Heureusement pour la majorité municipale qu’en 2008 nous ayons laissé une situation financière saine ! (reconnue par le rapport de la chambre régionale des comptes). Le maire de Muret n’a su marcher que sur une jambe : la gauche. En public il a souvent barbouillé la vérité par son verbiage, se rétablissant toujours par des pirouettes dont il a le secret.
Et à la CAM ?
La CAM donnait un sens très fort à l’action des maires par sa politique familiale et économique. L’irruption des partis politiques a dénaturé ce qui faisait la force et l’originalité de cette collectivité. L’autoritarisme et le manque de vision du président Mandement ont stérilisé tous les talents. Il a brisé l’élan de ce magnifique instrument de développement local.
Jean-Pierre Roland
 
 
En exclusivité pour La Dépêche Alain Barrès, l’ancien maire de Muret, explique son retour en politique et les raisons de son engagement aux côtés de Laurent Jammes pour les municipales de 2014.
 
Dernièrement vous avez affiché votre engagement auprès de la liste conduite par Laurent Jammes. Quelle est aujourd’hui votre position concernant les prochaines municipales à Muret ?
 
Bien que ne souhaitant pas être tête de liste, je n’ai jamais caché que je participerai aux municipales de 2014. Mais il est un âge où on doit savoir se retirer des avant-postes. Mon choix naturel est de soutenir mon ancien colistier Laurent Jammes qui a bâti toute sa vie professionnelle et familiale à Muret.
 
Avez-vous hésité entre l’une ou l’autre de ces listes; connaissant votre sympathie pour Alain Sottil et pour Laurent Jammes qui était sur votre liste en 2008 ?
 
Je n’oublie pas le soutien que m’a apporté Alain Sottil lorsque j’étais président de la CAM, mais je suis tourné vers l’avenir de Muret. Mon choix du candidat n’a pas été guidé par le souvenir des alliances du passé, mais pas une analyse objective des besoins futurs des muretains. Je connais Laurent Jammes de longue date. C’est un homme jeune et de son temps. C’est aussi un homme de décision, tolérant, qui saura être le maire de tous, libre de toute entrave et avec lequel je partage les mêmes valeurs de rigueur et d’humanisme. Je n’ai donc pas hésité à lui apporter mon soutien.
 
Qu’avez-vous retenu d’important sur la liste que vous avez choisi d’intégrer ?
 
J’ai été frappé par la jeunesse et l’enthousiasme de cette liste, à l’écoute attentive de l’expérience d’anciens élus. Elle a une connaissance claire des besoins immédiats et futurs des muretains et a la volonté d’adapter en douceur la ville aux grands changements de notre époque. De nouveaux outils ne manquent pas pour y parvenir. Tout comme il existe de nouveaux moyens de lutte contre l’insécurité qui a beaucoup progressé à Muret, car il est vain de parler de liberté individuelle sans sécurité au quotidien.
 
Quel sera votre rôle ? Comment comptez-vous vous impliquer dans la campagne ?
 
Mon rôle sera bien évidemment d’apporter l’expérience de deux mandats municipaux. En 6 ans le monde a changé, Muret a changé. Durant cette période j’ai eu le temps de la réflexion mais mon idéal reste le même et ma passion pour la ville est intacte. Je rencontre chaque jour des muretains qui me témoignent leur sympathie. Ces marques d’amitié me vont droit au cœur. Je demande à toutes celles et ceux qui m’ont fait confiance pendant treize ans, ainsi qu’à celles et ceux qui souhaitent une ville jeune, dynamique et sûre de soutenir la candidature de Laurent Jammes.
 
Quelles sont aujourd’hui les critiques essentielles que vous adressez à vos successeurs à la mairie ?
 
On ne perçoit aucune perspective d’ensemble ni vision d’avenir cohérente : exemple du point de congestion de l’entrée nord de Muret. L’augmentation des impôts et les importantes ventes de biens publics n’ont pas empêché la dégradation des finances, derrière le savant habillage des présentations budgétaires. Heureusement pour la majorité municipale qu’en 2008 nous ayons laissé une situation financière saine ! (reconnue par le rapport de la chambre régionale des comptes). Le maire de Muret n’a su marcher que sur une jambe : la gauche. En public il a souvent barbouillé la vérité par son verbiage, se rétablissant toujours par des pirouettes dont il a le secret.
 
Et à la CAM ?
 
La CAM donnait un sens très fort à l’action des maires par sa politique familiale et économique. L’irruption des partis politiques a dénaturé ce qui faisait la force et l’originalité de cette collectivité. L’autoritarisme et le manque de vision du président Mandement ont stérilisé tous les talents. Il a brisé l’élan de ce magnifique instrument de développement local.
 
Jean-Pierre Roland
 
 
 
 
En exclusivité pour La Dépêche Alain Barrès, l’ancien maire de Muret, explique son retour en politique et les raisons de son engagement aux côtés de Laurent Jammes pour les municipales de 2014.
Dernièrement vous avez affiché votre engagement auprès de la liste conduite par Laurent Jammes. Quelle est aujourd’hui votre position concernant les prochaines municipales à Muret ?
Bien que ne souhaitant pas être tête de liste, je n’ai jamais caché que je participerai aux municipales de 2014. Mais il est un âge où on doit savoir se retirer des avant-postes. Mon choix naturel est de soutenir mon ancien colistier Laurent Jammes qui a bâti toute sa vie professionnelle et familiale à Muret.
Avez-vous hésité entre l’une ou l’autre de ces listes; connaissant votre sympathie pour Alain Sottil et pour Laurent Jammes qui était sur votre liste en 2008 ?
Je n’oublie pas le soutien que m’a apporté Alain Sottil lorsque j’étais président de la CAM, mais je suis tourné vers l’avenir de Muret. Mon choix du candidat n’a pas été guidé par le souvenir des alliances du passé, mais pas une analyse objective des besoins futurs des muretains. Je connais Laurent Jammes de longue date. C’est un homme jeune et de son temps. C’est aussi un homme de décision, tolérant, qui saura être le maire de tous, libre de toute entrave et avec lequel je partage les mêmes valeurs de rigueur et d’humanisme. Je n’ai donc pas hésité à lui apporter mon soutien.
Qu’avez-vous retenu d’important sur la liste que vous avez choisi d’intégrer ?
J’ai été frappé par la jeunesse et l’enthousiasme de cette liste, à l’écoute attentive de l’expérience d’anciens élus. Elle a une connaissance claire des besoins immédiats et futurs des muretains et a la volonté d’adapter en douceur la ville aux grands changements de notre époque. De nouveaux outils ne manquent pas pour y parvenir. Tout comme il existe de nouveaux moyens de lutte contre l’insécurité qui a beaucoup progressé à Muret, car il est vain de parler de liberté individuelle sans sécurité au quotidien.
Quel sera votre rôle ? Comment comptez-vous vous impliquer dans la campagne ?
Mon rôle sera bien évidemment d’apporter l’expérience de deux mandats municipaux. En 6 ans le monde a changé, Muret a changé. Durant cette période j’ai eu le temps de la réflexion mais mon idéal reste le même et ma passion pour la ville est intacte. Je rencontre chaque jour des muretains qui me témoignent leur sympathie. Ces marques d’amitié me vont droit au cœur. Je demande à toutes celles et ceux qui m’ont fait confiance pendant treize ans, ainsi qu’à celles et ceux qui souhaitent une ville jeune, dynamique et sûre de soutenir la candidature de Laurent Jammes.
Quelles sont aujourd’hui les critiques essentielles que vous adressez à vos successeurs à la mairie ?
On ne perçoit aucune perspective d’ensemble ni vision d’avenir cohérente : exemple du point de congestion de l’entrée nord de Muret. L’augmentation des impôts et les importantes ventes de biens publics n’ont pas empêché la dégradation des finances, derrière le savant habillage des présentations budgétaires. Heureusement pour la majorité municipale qu’en 2008 nous ayons laissé une situation financière saine ! (reconnue par le rapport de la chambre régionale des comptes). Le maire de Muret n’a su marcher que sur une jambe : la gauche. En public il a souvent barbouillé la vérité par son verbiage, se rétablissant toujours par des pirouettes dont il a le secret.
Et à la CAM ?
La CAM donnait un sens très fort à l’action des maires par sa politique familiale et économique. L’irruption des partis politiques a dénaturé ce qui faisait la force et l’originalité de cette collectivité. L’autoritarisme et le manque de vision du président Mandement ont stérilisé tous les talents. Il a brisé l’élan de ce magnifique instrument de développement local.
Jean-Pierre Roland
 

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